jeudi 23 novembre 2017

CONFÉRENCE INTERNATIONALE DES NATIONS UNIES SUR L INDUSTRIALISATION DES PME

Le REJEFE PARTICIPE A LA 7EME EDITION DE LA CONFERENCE MINISTERIELLE DES PMA ORGANISEE PAR L’ONUDI
Dans le cadre de sa coopération avec le système des Nations Unies, le REJEFE  a l’honneur d’assister à la 7ème édition de la Conférence ministérielle des PMA organisée par l’ONUDI. Cet événement d’une grande importance pour les PME et PMI du monde entier, se tiendra les 23 et 24 novembre 2017 à Vienne, en Autriche. Elle précédera la 17ème Conférence générale de l’ONUDI. A cet effet, il est prévu, 2 sessions plénières (session d'ouverture et de fermeture), un débat ministériel (1) et des tables rondes interactives (sessions 2 et 3). Toutes les sessions et tables rondes seront animées par des modérateurs de haut niveau, avec la présence de ministres des PMA, de dirigeants d'agences de l'ONU, de représentants d'institutions de financement du développement, du secteur privé et d'autres parties prenantes. De plus, S. E. Mme Fekitamoeloa Katoa ‘Utoikamanu, des Tonga, SGA et Haute Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement a confirmé sa venue et devrait participer aux sessions plénières de haut niveau ainsi qu'au débat ministériel.
L'objectif de la Conférence est d’identifier des schémas et mécanismes de coopération innovants tout en favorisant la création de partenariats et la mobilisation des ressources pour un développement industriel durable des PMA. De plus, elle servira de plateforme pour créer et développer des partenariats durables et socialement responsables entre les parties prenantes des PMA, les donateurs traditionnels et émergents et le secteur privé.
Le REJEFE, représenté par sa présidente Mme Fatoumata FALL aura l’opportunité d’échanger avec ses hôtes sur les enjeux et défis relatifs aux mécanismes de coopération. A ce titre, l’occasion nous sera donné de faire une présentation des réalisations du REJEFE en mettant en avant le projet  d’ incubateur  100 féminin.











samedi 22 juillet 2017

A SUIVRE! !!

http://lentrepreneuriat.net/top-civles-10-secteurs-d-avenir-en-afrique-qui-feront-les-millionnaires-de-demain

vendredi 21 juillet 2017

A lire!!!!!

https://start.lesechos.fr/entreprendre/actu-startup/les-50-villes-les-plus-favorables-aux-femmes-entrepreneurs-8931.php

dimanche 16 juillet 2017

LES FEMMES ENTREPRENEURES

http://m.france24.com/fr/20150706-femmes-chef-entreprise-entrepreneure-marche-emergent-afrique-economie-emploi-berlin?ref=tw

jeudi 16 mars 2017

Analyse de la situation de l'entrepreunariat féminin et les pistes de solution.

Le poids économique de la femme Senegalaise est importante à mon avis que dans le secteur informel. Si elles ont vraiment un poids dans l'économie sénégalaise. Ceci étant du surtout à un manque d'information sur la formalisation . En effet,  elles pensent que si ellles se formalisent elles vont perdre tout leur gain en payant leurs impôts.  Ce qui n'est pas le cas car c'est en se formalisant  qu'elles pourront accéder à un certain niveau.  C'est en se formalisant qu'elles pourront accéder aux marchés et financements. 
Cette année, le thème de ONUFEMMES pour le 8 mars est "Les femmes dans un monde du travail évolution: Pour un monde 50/50 en 2030"  , je peux assurer qu'il sera difficile pour le SENEGAL d'atteindre 50/50 en 2030. Je m'explique ;  il faut une réelle politique pour y parvenir en incitant les enfants en général pas seulement les filles à croire en l 'entreprenariat et cela dès le bas âge donc dans les écoles.
Il faut mettre en place des incubateurs totalement gratuits au debut pour les jeunes femmes pour les informer, les aider à développer leurs projets, leur inculquer les règles de base de gestion en les formant en éducation financière pour ensuite les inciter à se formaliser pour qu'elles puissent voler de leurs propres ailes dans le monde vaste et très intéressant de l 'entreprenariat.
L ' Autonomisation de la femme se fera donc en aidant les femmes à mettre en place des industries, à développer les chaînes de valeurs dans l'économie verte, en allégeant les conditions d'accès aux marchés publiques ou en mettant en place des marchés exclusivement destinés aux TPE car la majorité des jeunes femmes ont des très petites entreprises . Et c'est là qu'elles pourront après quelques années accéder aux grands marchés car elles auront assez d'expériences et de justificatifs pour cela.
Et c'est̀ après cela, que nous pourrons avoir de véritables femmes entrepreneures autonomes capables de représenter la femme  entrepreneure Senegalaise dans toutes les grandes instances de décision et de partage.
Mais une chose est déjà sûre,  la relève est bien assurée !!!!!

Fatoumata FALL
Présidente REJEFE